Après la suite de Resident Evil Rebirth en haute définition, place au nouveau volet. Cet épisode marque le commencement de l’histoire d’Umbrella, l’héroïne de la saga. La promesse encore une fois d’une expérience terrifiante et unique. Les montres seront toujours à l’honneur, mais le plus important reste les différentes nouveautés incluses dans le gameplay. Il a fallu attendre 13 ans avant de revoir cet opus, parfaitement adapté par Capcom. Même si le côté visuel est intéressant, il faut tout de même se demander si le titre a su apporter une nette évolution au fil du temps.
Place au jeu !
Après sa sortie en 2003 sur Big N, ce volet a déjà présenté un graphisme étonnant si on le compare à son prédécesseur. Cette faction présente avant tout un Partner Zapping, un concept qui permet d’enrichir les énigmes dynamiser les relations entre les deux protagonistes. On aura aussi l’opportunité de placer des objets sur plusieurs endroits différents. Le seul bémol est la disparition des célèbres coffres magiques qui fait hurler les gamers adeptes de la licence. La nouveauté avec cette franchise est l’arrivée d’un nouveau personnage appelé Billy Coen. Un vrai contraste mis en avant avec les relations qui subsistent entre la douce Rebecca Chambers et le mauvais garçon.
C’est quoi le souci ?
Même si les cinématiques n’ont pas été changées, ce jeu reste quand même remarquable. Malgré cela, vous pouvez parfaitement jouir des deux possibilités de maniabilités que ce soit à l’ancienne ou celle moderne. Le cas s’est déjà présenté avec le Resident Evil Rebirth. Mais avec cette version, il serait plus sage de jouer avec l’ancienne. Effectivement, des mouvements de caméra hasardeux vont accompagner la maniabilité moderne. Les conséquences derrière seront désastreuses étant donné que vous allez souvent être propulsé vers des zombies.