Vivendi prend les règnes du leader des jeux vidéo français après seulement une semaine. Les dés sont jetés, car en effet, l’actionnaire majoritaire du groupe n’a pas caché ses intentions d’apporter sa touche personnelle auprès de l’éditeur des sagas « Far Cry », « Les Lapins crétins » et « Assassin’s Creed ». il faut savoir que l’entrée du groupe de Vincent Bolloré était mal perçue par la société ainsi que Gameloft. L’évolution de la capitale de ce dernier a progressé de 10,4% dans Ubisoft et à 10,2% chez Gameloft.
Situation actuelle d’Ubisoft
L’éditeur français se positionne à la troisième place au niveau mondial. Les fondateurs, François Guillemot et Yves Guillemot ne dispose maintenant que de 9,4% des actions, ce qui les placent dans une position minoritaire. Expert de la grosse production, l’entreprise a misé depuis ses débuts sur des franchises comme Assassin’s Creed, dont chaque année une nouvelle série sort. Mais il essaie systématiquement de créer de nouvelles licences telles The Division ou Watch Dogs. Pour le cas de Gameloft, les frères Guillemot restent encore les actionnaires majoritaires.
Place à une nouvelle ère ?
Peu de temps après le lancement de 2 Assassin’s Creed, le nouveau PDG, Vincent Bolloré a affirmé ses ambitions en indiquant dans un communiqué qu’il va mettre son grain de pain dans toutes les décisions prises lors de leur conseil d’administration. Ses propos parlent d’une corrélation entre les deux sociétés où le Président a les mains mises. Une situation qui inquiète les adeptes, car si on regarde de près ce qui se passe chez Canal+, on a de quoi se poser des questions. Etant donné qu’il désigne des personnes n’ayant aucune compétence à des postes à haute responsabilité. Mais le point positif dans tout ça, c’est que le monde du jeu vidéo n’est pas étranger à Vivendi.