Faisons un petit retour en arrière pour comprendre le succès de ce jeu. Dans les années 90, nous avons vu s’affronter deux grands noms de la fabrication de consoles. L’éditeur Nippon a cartonné avec des titres comme Megaman, Zelda ou Castlevania. De l’autre côté, on a Mega Drive qui ne branche pas et lance Master of Darkness. Une énorme surprise pour les fans de jeux vidéo. Ce retour sera-t-il différent de ses prédécesseurs ? Une question que les adeptes se posent. Nous allons essayer d’y répondre.
Conçu par SIMS, le jeu est lancé en 92. Le personnage principal est un psychologue expert des sciences occultes à la recherche d’un tueur en série. Les scènes se passent en plein cœur de Londres.
Les nouveautés
Il est temps d’enfiler vos gants et d’enfiler votre costume de détective car un long périple vous attend. Master of Darkness est réparti en 5 stages qui commencent au bord de la Tamise. Longez avec prudence des cimetières, en gros le parcours est semé d’embuche. En matière de Gameplay, c’est une plateforme classique avec des challenges simples. Un effet visuel mieux travaillé, des actions plus fluides ainsi que des personnages plus rapides. Le seul bémol reste les ralentissements ressentis quand les mouvements sont plus complexes comme la montée d’une échelle ou d’un escalier, mais rien de bien méchant.
Le reflet de la réalité
L’arme fétiche du personnage original était un fouet. Dans le jeu, c’est un peu différent, car le psychologue au début ne tient qu’un couteau. Au fil des étapes, le docteur gagne plus d’armes. L’occasion de dénicher une épée, une hache ou une lance. Face aux attaques adverses, faites en sorte d’avoir la meilleure arme possible. Le niveau sonore est remarquable avec des musiques en parfaite harmonie avec les étapes franchies.