Les adeptes de space opera seront encore émerveillés cette année grâce à la sortie de cette franchise. Deux épisodes ont été déjà lancés, avec ce troisième volet la question qui se pose, est s’il y a eu un changement ou non. Aussi, le fait de reprendre le titre Homeworld était un peu audacieux. Mais quand on sait que mes membres célèbres sont des anciens de … Relic, et adjoint aux services de Blackbird Interactive, il y a de quoi être optimiste. C’est ainsi que ce jeu, se décale un peu de prélude ne mettant en avant que le bordel galactique qu’on a des difficultés à gérer, mais s’oriente plus sur l’action.
Place à la découverte et aux actions
Oubliez les interminables et traditionnels voyages dans la galaxie. Toutes les aventures se passent désormais sur terre, plus précisément dans le sable. L’équipage du Kapisi et Rachel S’Jet vont vivre un grand périple en direction de l’infini désert de Kharak. Le nom a été choisi pour faire référence aux aficionados de la série. Le scénario est assez intéressant car le joueur aura pour mission de trouver la Primal Anomaly, le seul moyen pour sauver le monde. Au cours de l’aventure, vous aurez à affronter des peuples hostiles. La narration est vraiment remarquable, une nette amélioration par rapport à son prédécesseur.
Mais c’est quoi le but ?
Même si le gamer qui prend tous les STR sera toujours en terrain conquis, les objectifs demeurent variés. Le joueur aura à protéger une zone au risque de perdre sa vie, combattre ses ennemis ou trouver un artefact bien précis. La promesse d’un jeu très dynamique. Le seul souci reste la durée de la campagne. En effet, 8 heures suffisent pour effectuer le parcours. Il y a aussi la disparition de la gestion d’équipage.